- FDMSP00567
- Corporate body
- 1979 – 1991
La coopérative Alsace-Lait a repris l'activité de la société la Laiterie centrale de Strasbourg en 1978, devenue une société anonyme, elle a cessé d'exister en 1991.
La coopérative Alsace-Lait a repris l'activité de la société la Laiterie centrale de Strasbourg en 1978, devenue une société anonyme, elle a cessé d'exister en 1991.
Centrale laitière du Nord Deux-Sèvres et Bocage Vendéen
Coopérative laitière de « La Montagnarde » de Montigny-lès-Cherlieu
La coopérative "la Montagnarde" est fondée le 20 août 1957. Cette société compte 59 adhérents de Montigny-lès-Cherlieu et Noroy-lès-fussey. Son siège social est établi à Montigny-lès-Cherlieu.
Elle a pour objet d'effectuer ou de faciliter toute opération concernant la production, la transformation, la conservation et la vente des produits laitiers des coopérateurs et de ses sous-produits.
La coopérative "la Montagnarde" est dissoute par fusion avec la coopérative "de la vallée de l' Ougeotte et de la Mance" le 1er janvier 1980.
Coopérative laitière de « La Plaine » à Cintrey
La coopérative de "la Plaine" est fondée le 15 mars 1925. Sa circonscription territoriale comprend les communes de Cintrey, la Rochelle, la Quarte et les communes limitrophes. Son siège social est établi à Cintrey. Cette société a pour objet toutes opérations concernant la vente des produits agricoles laitiers provenant exclusivement des exploitations des associés. En 1931, elle compte 70 sociétaires. En 1976, elle fusionne avec la coopérative "la Varenne", de Preigney par absorption de cette dernière. La coopérative de "la Plaine" est dissoute par fusion avec la coopérative laitière d'Aboncourt-Gésincourt le 30 juin 1988.
Coopérative laitière de Bourguignon-lès-Morey
Coopérative laitière de Chauvirey-le-Châtel
Coopérative laitière de la vallée de la Mance
La coopérative de la vallée de la Mance est fondée en 1934. Elle regroupe les communes de Rosières-sur-Mance, où est établi son siège social, et de Saint-Marcel. Son nombre le plus élevé d'adhérents est de 48 en 1963. Nous ne pouvons affirmer si cette société a fusionné ou s'est éteinte vraisemblablement en 1988.
Coopérative laitière de la vallée de la Rigotte
La coopérative de la vallée de la Rigotte a été fondée le 31 janvier 1926. Son siège social était établi à Bourguignon-lès-Morey, la fromagerie à Channes-Saint-Valbert. Cette société avait pour objet la production de crème, beurre, fromage et vente de lait de consommation. Elle a été transformée en coopérative de vente de lait en 1986. Les établissements Milleret, de Charcenne, collectent le lait depuis le 1er janvier 1987.
Coopérative laitière de la vallée de l'Ougeotte
La coopérative de la vallée de l'Ougeotte est fondée le 19 février 1931. Cette société compte 46 adhérents des deux Chauvirey. Son siège social est établi à Chauvirey-le-Châtel. En 1933, 30 cultivateurs de Vitrey rejoignent la coopérative suivis de 17 de Montigny-le-Cherlieu, en 1934 et 6 de la fromagerie Hubacher de Montigny en 1948. En 1972, fusion avec la coopérative de Vernois-sur-Mance, la plus ancienne de Haute-Saône (1852), puis avec "la Montagnarde" de Montigny et Noroy en 1980.
De grandes modifications sont apportées au niveau de la fabrication sous vide et pressage en 1971 ainsi que l'installation de tanks à lait à la ferme et ramassage en citerne en 1973.
L'évolution du milieu rural, les charges d'exploitation, les quotas ont eu raison de cette société qui a fusionné avec Aboncourt-Gésincourt en 1988.
Coopérative laitière des monts de Tarare
Coopérative laitière dite « La Varenne » à Preigney
La coopérative laitière agricole de Preigney dite "la Varenne" est fondée le 20 octobre 1926 avec 41 membres, 27 membres en 1963, 12 en 1975.
Le capital social de ladite société se constitue par tête de bétail en 1926 pour être réparti entre les sociétaires proportionnellement aux apports de lait en 1963. Le 1er mars 1976, elle fusionne avec la coopérative laitière "la Plaine" de Cintrey, par absorption de cette dernière.
Entente laitière et agricole du Centre
Les premières coopératives laitières sont créées dans le Loiret dès avant la Première Guerre mondiale (les coopératives de Fay-aux-Loges, Lorcy et Ladon sont fondées entre 1909 et 1911), répondant ainsi au besoin de mise en commun des moyens de collecte et de transformation du lait.
L'explosion des créations de coopératives se situe cependant dans l'entre-deux-guerres : Boiscommun (1920), Mer (Loir-et-Cher) et Courtenay (1927), « Val-d'Or » à Saint-Aignan-des-Gués (1930), Poilly-lez-Gien et Bonny-sur-Loire (1932), Mareau-aux-Prés (1933), CALOR à Orléans (1941).
Ces coopératives doivent assurer aux éleveurs adhérents le ramassage du lait, d'abord en bidon, puis en tanks ou citernes à partir des années 1950 au gré des évolutions technologiques auxquelles elles s'adaptent plus ou moins vite. Certaines d'entre elles n'effectuent que la seule collecte du lait, comme la coopérative de vente de la vallée du Beuvron (Loir-et-Cher), qui en confie la transformation à la coopérative de Mer.
Les coopératives effectuent ensuite la transformation du lait : pasteurisation/stérilisation, embouteillage (puis conditionnement Tetra Pack), transformation en beurre, fromage ou yaourts, etc. Ici encore, chaque coopérative s'adapte plus ou moins rapidement aux changements (technologiques, évolution des normes d'hygiène, etc.) qui apparaissent pour l'essentiel à la fin des années 1940. Certaines d'entre elles tendent à se spécialiser afin de rationaliser leurs coûts de production.
Enfin, certaines coopératives assurent la commercialisation de leurs produits. Plusieurs ouvrent des magasins de vente directe, comme la coopérative de Saint-Aignan-des-Gués à Sully-sur-Loire, ou l'Union des coopératives laitières de l'Orléanais place du Châtelet à Orléans.
Pour mieux répondre à la concurrence industrielle et aux nouveaux enjeux (politique agricole nationale puis européenne, restructuration du monde paysan, augmentation de la production laitière, etc.) les coopératives laitières loirétaines cherchent à unir leurs forces dès les années 1940.
La principale expérience de collaboration entre coopératives est celle de l'Union des coopératives agricoles laitières de l'Orléanais (UCALO) de 1948 à 1966. Créée à l'initiative des coopératives laitières de Mareau-aux-Prés et de Fay-aux-Loges, cette union a pour but premier de spécialiser les usines des coopératives adhérentes dans certains types de fabrications afin de rationaliser les coûts, chaque coopérative restant toutefois théoriquement indépendante. Elle prend vite de l'ampleur par de multiples adhésions : coopératives de Boiscommun et Saint-Aignan-des-Gués (1949), coopérative agricole laitière de Sologne à Neung-sur-Beuvron (Loir-et-Cher) (1954), coopératives de Bonny-sur-Loire et Poilly-lez-Gien (1956), coopérative de Mer (Loir-et-Cher) (1963), coopératives de Rians (Cher) et Saint-Viâtre (Loir-et-Cher), etc. Néanmoins, les coopératives adhérentes ne parviennent pas à s'entendre sur la gestion de l'UCALO et sur leur mode de relation. L'union est finalement dissoute en 1966.
Une autre expérience, légèrement différente, est menée de 1952 à 1957 entre les coopératives de Bonny-sur-Loire et de Poilly-lez-Gien, l'union ayant cette fois-ci pour objectif d'aider au redressement de cette dernière. Les deux coopératives finissent par fusionner en 1957.
La solution de la fusion-absorption est en définitive celle qui se révélera être la plus efficace pour permettre aux coopératives d'assurer leur avenir.
C'est la coopérative CALOR d'Orléans, qui ne faisait pourtant pas partie de l'UCALO, qui rassemble les coopératives autour d'elle : fusion avec Boiscommun et Mer en 1965 (devenant ainsi la CLAIOR, Coopérative agricole laitière de l'Orléanais), avec la vallée du Beuvron en 1967 et Fay-aux-Loges en 1968.
Le rapprochement de la CLAOIR avec la coopérative de Bonny-sur-Loire et du Giennois conduit, le 1er janvier 1970, à la création de l'Entente laitière et agricole du Centre (ELAC), dont le siège est fixé à Fleury-les-Aubrais.
De leur coté, les coopératives de Lorcy-Corbeilles et Ladon fusionnent avec la coopérative du « Val-d'Or » de Saint-Aignan-des-Gués en 1968. La nouvelle coopérative adhère finalement à l'ELAC en 1976.
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Fruitière de Challes-la-Montagne
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Fruitière de Villers-sous-Montrond
Fruitière-école de Aigueblanche
Fruitière-école de Bourg-Saint-Maurice
Fruitière-école de Grésy-sur-Aix
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Quatre sociétés fruitières, fondées par la famille Gay, se sont succédé à Vulbens. La première, créée le 16 mai 1811 par Pierre-François Gay, prend place dans un bâtiment de la ferme du château. La deuxième, toujours au château, est fondée le 30 janvier 1847 par le fils du précédent, François-Antoine Gay. Elle cesse son activité le 25 mars 1851. La troisième, constituée par Bernard Gay le 10 mai 1858, s'installe dans des locaux acquis par ce dernier. L'homme est également à l'initiative de la quatrième société le 9 janvier 1876. À la fin de cette année se termine la construction d'une fruitière et d'un poids public. Une porcherie est également annexée. La société semble fonctionner jusqu'en 2003.
Bernard Gay créé également une fruitière à Menthonnex-sous-Clermont le 27 février 1889. Elle est mise en service le 1er mai de la même année. Elle est vendue après la Première Guerre mondiale.
Laiterie coopérative de Coulon
Laiterie coopérative de Landes
Cette laiterie était située à Landes dans l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély en Charente-Maritime.
Cette société coopérative a été fondée en 1903 ; elle a pris la dénomination de laiterie coopérative de Landes ; elle a pour objet la fabrication du beurre avec le lait provenant exclusivement des exploitations de ses adhérents et la vente de tous les produits et sous-produits du même lait.
La première laiterie de Charente-Maritime a été créée à Chaillé en 1888 par Eugène Biraud.
Laiterie coopérative de Saint-Martin-de-la-Coudre
Cette laiterie était située à Saint-Martin-de-la-Coudre, dans l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély en Charente-Maritime.
Cette société coopérative a été fondée le 25 février 1890 ; elle a pris la dénomination de laiterie coopérative de Saint-Martin-de-la-Coudre ; elle a pour objet la fabrication du beurre avec le lait provenant exclusivement des exploitations de ses adhérents et la vente de tous les produits et sous-produits du même lait.
Laiterie coopérative de Thairé d'Aunis
Laiterie de Fontbouillant à Montguyon
Cette laiterie était située à Fontbouillant dans la commune de Montguyon, arrondissement de Jonzac en Charente-Maritime.
Cette société coopérative a été fondée en 1903 ; elle a pris la dénomination de laiterie coopérative de Fontbouillant ; elle avait pour objet la fabrication du beurre avec le lait provenant exclusivement des exploitations de ses adhérents et la vente de tous les produits et sous-produits du même lait.
Sa cessation d'activité date des années 1960 après son rachat par la laiterie coopérative de Baignes (Charente).
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Organisation régionale laitière agricole et coopérative (ORLAC)
Société coopérative agricole beurrière des vallées d'Elle et Vire
Société coopérative agricole de fromagerie des Hays
Société coopérative agricole du bassin laitier d'Avignon (SCALACTA)
Depuis la Seconde Guerre mondiale, cette coopérative regroupait une grande partie des producteurs laitiers de la région d'Avignon, elle jouait donc un rôle économique important jusqu'à la fin des années 1970 dans la région. Le 7 février 1973, la Cour de Cassation rejette le pourvoi formé contre l'arrêt rendu du 8 juillet 1971 par la cour d'appel de Nîmes, décidant la cessation des activités de la Société coopérative agricole du bassin laitier d'Avignon (SCALACTA).
Société coopérative fromagère de Grignoncourt et de Bousseraucourt
La société coopérative fromagère de Grignoncourt (Vosges) et de Bousseraucourt (Haute-Saône) a été créée le 1er mars 1928. Son siège social était à Grignoncourt dans une salle de la mairie. Cette société avait pour but la fabrication et la vente de tous les produits qui dérivent du lait, fourni par les membres de l’association. Les modalités d’entrée étaient strictes. La demande devait être adressée au président de l’association. Elle était ensuite instruite en conseil d’administration qui l’acceptait ou non et qui fixait un droit d’entrée. Le retrait de l’association se fait uniquement au bout de six ans sauf en cas de force majeure.
Chaque sociétaire s’engageait formellement à livrer à la société coopérative, le lait de ses vaches, sous réserve de ce qui lui était nécessaire pour son usage familiale. Il était interdit de fournir du lait à des personnes extérieures de la société. Le lait ne devait pas provenir de vaches malades, de vaches fraîchement vêlées ayant pris bœuf et ramenée d’une foire. Le lait devait être livré très propre et subir des contrôles réguliers.
La société était administrée par un bureau, composé du président, d’un vice président et d’un secrétaire-trésorier. Le conseil d’administration et la commission de contrôle fixaient le traitement annuel du fromager selon le prix du lait au litre.
En 1938, une demande d’agrément a été instruite et les statuts ont été modifiés selon le décret du 13 août 1936 sur l’organisation et la gestion des sociétés coopératives agricoles.
La société coopérative fromagère a cessé toute activité, en raison à son endettement.
Société coopérative fruitière chez Corbex
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Société de coopérative laitière de Lepuix-Delle
Victor Sinelet et Xavier Favez, tous deux cultivateurs à Lepuix, créent une société de coopérative agricole le 28 décembre 1928 dont le siège est établi à la mairie de Lepuix. Cette société prend la dénomination de « Société Laitière Coopérative de Lepuix-Delle » et a pour objet la mise en commune du lait fourni par les sociétaires pour la fabrication et la vente du fromage.
Les éléments qui suivent ont été rédigée par monsieur Joseph Favez en 2013 :
Le nombre de sociétés a atteint le maximum de quarante. Les plus petits producteurs n'avaient qu'une ou deux vaches laitières et étaient de ce fait parfois des fournisseurs intermittents.
Avant que soit créée la coopérative, un laitier privé avait construit une fromagerie qui fabriquait du gruyère. Mais quand la vente de lait n'était plus rentable, il mettait son lait sur wagons en gare de Friesen, mais il allait au cabaret et n'était pas toujours rentré pour recevoir la traite du soir. Cet artisan avait un fils, Ernest, qui avec le lait des dissidents, avait créé une fabrication de fromage genre munster qu'il vendait à son domicile ou sur les foires et marchés.
Après 1941, quand la gouvernement de Vichy eut mis en place sa politique, c'est la coopérative qui devait recevoir toute la production de lait. Les combats de la Libération provoquèrent la destruction de plusieurs fermes et la diminution de la production qui mit plusieurs années pour revenir au niveau de 1940.
Lorsque le fromager fut parti en retraite, il ne fut plus possible de recruter une personne compétente pour assurer le service et la coopérative laitière cessa définitivement son activité le 12 novembre 1973.
Société fruitière de Menthonnex
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Les fruitières sont des sociétés coopératives regroupant des propriétaires de vaches laitières dans le but d'exploiter et transformer leur production. La production annuelle est vendue par adjudication à un fruitier qui utilise les bâtiments (logement du fruitier, locaux techniques, porcherie.) et le matériel de fabrication (moulin, brassoir, baratte, cercle à fromage.) dont la fruitière est propriétaire.
Union des laiteries coopératives de la région de Ligueil
Union des laiteries coopératives du marais poitevin
Union Sud-Vendéenne Agricole Laitière