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Authority record
Association

Association de construction « Les Castors d’Ablon »

  • FDMSA00449
  • Corporate body
  • 1951 - ?

L'association « Les Castors d'Ablon », est créée en 1951, son siège social est à Choisy-le-Roi, et elle devient "Société coopérative" en 1953. L'objectif de cette association est de réaliser la construction de logements, en accès à la propriété, ou locatifs, situés en lotissements.

Association des Castors de Margny-lès-Compiègne.

  • FDMSP00594
  • Corporate body
  • 1953 – ?

Développement du mouvement en France à partir de 1945 (https://les-castors.fr/notre-histoire/)
Le terme Castor semble apparaître à la fin de la Seconde guerre mondiale. On voit alors des familles se regrouper dans différentes villes de France autour d’expériences d’auto-construction coopérative fondées sur le principe de l’apport-travail : le travail collectif, effectué pendant les heures de loisirs, vient pallier l’incapacité des personnes ainsi associées à financer l’achat ou la construction d’un logement.
Ces regroupements ont été une réponse militante de différents mouvements politiques et sociaux à la crise du logement. Bien que la part de l’aspect communautaire varie suivant les opérations, il a joué un rôle dans l’essor et l’organisation du mouvement, en favorisant les rencontres des membres et les échanges entre les regroupements.

Le mouvement des castors de Margny
Des aspirants à la propriété par l’auto-construction se sont réunis en assemblée générale le 6 mai 1953 et se sont constitués en association. L’association prend le nom de « Les Castors de Margny ». Son but est de coordonner l’ensemble des efforts en vue de la construction de maisons d’habitation, construction réalisée pour partie par les futurs aspirants à la propriété. Le premier président est Aimé DENNEL [qui fut ensuite maire de la commune de mars 1971 à septembre 1981]. Les constructions ont été réalisées dans le quartier des Longues Raies / Les Étangs [rue Louis Barthou, Rue André Royer, Square Concorde, rue de la Paix et rue Jeanne d’Arc notamment]. Aucun document n’indique une éventuelle dissolution de l’Association.

Association jazz 70

  • FDMSP00705
  • Corporate body
  • 1946 - Présent

Le Hot Club de Nîmes, fondé en 1946 par Jacques Tailhefer, est devenu le Jazz Club de Nîmes en 1956. Cette association organisait des concerts et événements liés au jazz, et était étroitement liée au Big Band de Nîmes, un ensemble d'une quinzaine de musiciens actifs entre 1965 et 1968 et de 1983 jusqu'au début des années 2000. Une coopérative de disques, le "New Discoop", a été mise en place et gérée par l'association pendant plusieurs années à partir de 1979. L'activité de l'association est fortement marquée par la personnalité de son président à partir de 1956, Guy Labory (1937-2004), de son nom complet Guy-Jean Labory. En 1989, suite à des dettes importantes liées aux festivals précédents, l'association dépose le bilan. Jazz 70 a été fondée par Guy Labory en 1970 afin de produire une revue éponyme et "répandre le jazz sur le territoire". Trois numéros de la revue sont parus entre 1970 et 1971, ainsi que plusieurs publications liées au Festival International de Jazz de Nîmes. Jazz 70 a poursuivi l'activité du Jazz Club de Nîmes après son dépôt de bilan, notamment l'organisation d'événements et de concerts depuis 1990 à Nîmes et dans sa région, toujours la direction de Guy Labory (jusqu'à son décès). Parmi les événements notables se trouvent les festivals "Printemps du Jazz" de 1995 à 2002 et "L'Agglo au rythme du jazz" depuis 2006. L'activité de l'association se poursuit
En 2019.

Comité des fêtes de la Maison du Peuple (Saint-Claude)

  • FDMSP00661
  • Corporate body
  • 1913 - 1973

Au mois de mai 1919, le conseil d'administration de La Fraternelle adopte un « projet d'organisation de ses sections d'éducation et d'agrément ». Les enfants du peuple, La chorale, Le cercle musical, la section gymnique et le groupe littéraire sont désormais sous l'égide d'une administration générale dirigée par le président de La Fraternelle et composée de six membres du conseil d'administration de La Fraternelle ainsi que des directeurs, secrétaires et trésoriers de chacun des groupes. Dès 1921, cette organisation prend le nom de Comité des fêtes de la Maison du peuple. Le Comité des fêtes cordonne les activités des groupes culturels et récréatifs de la Maison du peuple, il prépare et organise les bals, concerts et spectacles donnés par les groupes d'agrément et gère les questions matérielles et logistiques. Il est également chargé de la gestion financière des groupements. Le comité sert aussi d'intermédiaire dans les relations des groupements avec la coopérative et les organisations extérieures. Les activités culturelles et récréatives cessent durant la seconde guerre mondiale et le Comité n'a plus lieu d'être.

Union des groupes d'agréments de la Maison du peuple (Saint-Claude)

  • FDMSP00662
  • Corporate body
  • 1947 - 1973

En 1947, dans le but de relancer l'activité des groupes d'agréments, une Union des groupes d'agréments de la Maison du peuple est créée. Il s'agit cette fois d'une association officielle déclarée au titre de la loi de 1901 à laquelle adhèrent La Prolétarienne, Le cercle musical, Les amis réunis et La Fraternelle. L'Union se donne pour objectif de « coordonner l'action, l'activité et la propagande des groupes d'agréments de la Maison du Peuple et la culture populaire en général», reprenant ainsi le rôle d'organisateur et d'intermédiaire du Comité des fêtes. L'Union des groupes d'agréments de la Maison du peuple est dirigée par un conseil d'administration composé des présidents des sociétés adhérentes et de sept membres élus en assemblée générale. Des commissions sont constituées pour chaque type d'activité : éducation populaire, commission des fêtes, propagande et organisations, enfants du peuple, jeunesses et sport. L'union gère également la bibliothèque de la Maison du peuple. Un ciné club est créé en 1948, puis une section danse en 1961. L'activité des groupements est très importante après-guerre mais se réduit progressivement durant les années 1960 et en 1973 la plupart des groupements ont disparu. L'Union des groupes d'agrément de la Maison du peuple est dissoute le 9 novembre 1973.